Critique de «Star Trek: Strange New Worlds»: Anson Mount prend le fauteuil du capitaine dans la dernière préquelle de la série originale
D’autres noms familiers, sinon des visages, traversent cette orbite de « Trek », de Nurse Chapel (Jess Bush) à certaines des menaces extraterrestres, même à la future compagne de Spock, T’Pring (Gia Sandhu), avec qui lui et le capitaine Kirk ont eu un accrochage mémorable sur ces rituels d’accouplement vulcains peu orthodoxes.
Pourtant, « Strange New Worlds » est tellement amoureux de ces rappels qu’il limite quelque peu son attrait, du moins parmi ceux qui ne peuvent pas identifier les titres d’épisodes individuels ou vibrer à des références plus obscures, comme se souvenir du béguin de Chapel pour Spock.
Présenté sous le nom de Pike dans « Star Trek : Discovery », Mount est une version sincèrement sympathique d’un capitaine de vaisseau moderne, doté d’un sens de l’humour bienvenu pour aller avec une présence à la mâchoire carrée qui lui permet de casser des lignes comme « Vous laissez-moi m’inquiéter pour Starfleet. »
De ce point de vue, « Strange New Worlds » est fondamentalement mal intitulé. Parce que s’il offre une extension crédible et raffinée de cette marque vénérable et une plus grande exposition à différentes parties de l’univers « Trek », parce que sa mission repose si fortement sur la construction de la série originale, il n’y a pas grand-chose d’étrange ou de nouveau à ce sujet.
« Star Trek : Strange New Worlds » sortira le 5 mai sur Paramount+.